Chère Tatiana, cher Eugène,
Mais par où commencer ? J'ai presque peur de mettre des mots, d'amenuiser la magie que Clémentine Beauvais a créé. Dès les premières lignes j'ai été happée, emportée, ensorcelée (et toutes les autres rimes en "é" que vous voulez). J'en ai pris plein les mirettes, et je crois que je n'étais même pas prête.
Maintenant va falloir étoffer, expliquer et c'est là que réside la difficulté. Je vais donc m'essayer à l’exercice mais soyez indulgents face à mon caprice.
Ma tête dès le début de l'histoire. |