Dans l'épisode précédent... Plouf et Cha s'étaient rendues à Lille où elles se préparaient pour les Halliennales. Bon le vendredi déjà fut terni par quelques absence dralesques et péculesques mais cela n'a pas empêché nos deux acolytes de passer une bonne après-midi/soirée. Mais alors que le temps est au beau fixe, tout ne va se passer exactement comme prévu, ce samedi 6 Octobre.
Voici leur histoire. (Law and Order reference inside, si vous avez eu le TATAM dans la tête, bravo, vous aussi vous passiez trop de temps sur TF1).
Oh bah ça va, si on peut plus avoir de références pourries ! |
Le réveil a donc été un peu difficile le samedi, je ne vous le cache pas (je rappelle vite fait pour les gens qui ont oublié ou pour ceux qui ont eu la flemme de lire la première partie (bande de fifrelins, c'est pas sympa, avec tout le mal que je me suis donnée pour être hilarante !) qu'on s'est fait réveiller toute la nuit par des personnes alcoolisées qui avaient décidées de partager leur joie de vivre avec nous). Mais on était quand même hyper enthousiastes à l'idée de claquer toute notre thune dans des livres et autres goodies dont on aurait absolument pas besoin ! C'est donc positives et pleines d'entrain (et un peu stressées (parce qu'on a tendance à raconter n'importe quoi aux auteurs/autrices qu'on rencontre (enfin, si ça pouvait s'arrêter aux auteurs/autrices encore, on serait plutôt bien loties)) qu'on part prendre le métro, puis le bus (ceci est important pour la suite de notre histoire) direction Hallennes-lez-Haubourdin.
Oui je fais partie des personnes qui aiment prendre en photo des instants. Même si la photo est moche, le souvenir reste joli. Voilà. (celui-ci s'appelle 'dans le métro pour les Halliennales') |
Après bien trente minutes de bus, on arrive sur place, où on finit par trouver le salon, grâce à notre talent hors pair d'orientation (et pas du tout parce qu'on a suivi deux filles qui semblaient y aller également (ce qui aurait été drôle c'est si elles n'étaient pas du tout allées au salon et qu'on était passées pour deux cinglées (que nous sommes))).
Déjà ça commence parce qu'on ose pas trop rentrer vu qu'on est en avance, on se dit qu'on va nous envoyer bouler. Donc après quelques minutes d'indécision et un petit tour du parking, on finit par rentrer, et en fait les gens sont gentils ! Personne ne nous envoie bouler et on se paye même le luxe de prendre un thé/chocolat chaud (non mais en vrai on est juste pas trop faites pour les interactions sociales je crois).
Après s'être réhydratées, on entre enfin dans le saloooon. Enfin, avant, on se fait coller des petites étiquettes sur les livres qu'on a amené a dédicacer (ce qui se révélera être une erreur vu que pas une seule personne ne nous demandera de retourner le livre pour vérifier que la-dite étiquette est bien accolée et surtout que le truc est INENLEVABLE. Adieu jolie quatrième de couverture, te voilà pourvue d'une grosse étiquette verte à vie).
Doooonc on récupère nos livres étiquetés et hop, on découvre la salle !
Ça ressemble à ça. |
Du coup on finit par faire la queue pour avoir une petite griffe d'Ariel Holzl, profitant de l'attente pour essayer de passer pour des personnes normales. Et ça marche (à peu près), voyez vous, le monsieur est gentil, on discute un peu, il nous remet même (petite victoire, même si c'est sûrement parce qu'on raconte beaucoup trop n'importe quoi qu'il nous situe, mais ne chipotons pas). J'ose même demander une photo mais il est soudain sollicité par une collègue autrice et j'ose pas redemander.
(et là je fais une petite parenthèse à la con, mais voilà, je pense qu'elle mérite d'être faite. C'est facile de raconter des conneries derrière son écran, mais je suis pas forcément la plus extravagante quand il s'agit de l'IRL. Surtout quand on parle de quelqu'un dont j'admire/j'aime le boulot ou que j'admire tout court. J'ai le cerveau qui devient complétement vide, je bégaie, j'ai du mal à me souvenir de mon prénom. Et surtout j'ai un léger problème de confiance en moi couplé à un bon gros syndrome de l'imposteur qui fait que j'ai toujours peur de déranger (voilàà merci pour la séance de psy) donc ça va peut être vous faire marrer qu'il faille que je prenne mon courage à deux mains pour demander un truc aussi con que faire une photo, mais pour moi c'est un big jump de ma zone de confort. Hop j'ai recadré le truc ? J'ai bien pourri l'ambiance ? Allez on peut continuer).
Oooh bah ça vaaa c'est pas non plus la peine d'en faire des caisses non plus. |
Après Ariel Holzl et Monsieur Nyx on va voir notre deuxième auteur avec un z dans son nom de famille, j'ai nommé Gabriel Katz. On l'a déjà vu à Montreuil (c'était même le premier auteur qu'on a vu !), on sait donc qu'il va nous demander quel dessin on veut en plus de notre dédicace. Cha, qui a bien réfléchi à tout, demande un panda qui fait du vélo (parce que, pourquoi pas ?) et je demande un chien (parce que je pense qu'on peut faire une dissert' sur la place des canidés dans les œuvres de Katz (oui, j'ai fait une fac de lettres)). Et pendant qu'on papote toussa, je me dis que comme je suis là, je pourrais quand même prendre un de ses autres romans (on a jamais assez de Katz), et je me prends donc N'oublie pas mon petit soulier, qu'il me dédicace dans la foulée. En panique (je vous ai dit, il m'en faut pas beaucoup), je lui demande une frite (le Nord, Lille toussa). Le pauvre est un peu pris au dépourvu mais le résultat est formidable.
Ensuite, voyant qu'Aurélie Wellenstein, qui est assise à côté, n'a personne qui attend de dédicace, hop, on va la voir ! On prend chacune un roman, le Dieu Oiseau pour Cha et le Roi des Fauves pour moi. Du coup on a un peu de temps pour papoter, la dame est charmante, on a aussi droit à des jolis dessins en plus de notre dédicace, trop cool, Cha et moi sommes des personnes qui aiment le dessin.
Et après, la situation dégénère légèrement pour Cha qui se rend sur le stand des éditions du Chat Noir et qui achète juste la moitié de leur stock (j'exagère à peine). Et moi, pauvre être faible, je suis contaminée par tant d'enthousiasme, je me prends deux romans, la Fille qui tressait les nuages, dédicacé par son autrice (ouais ça tombe sous le sens, merci Plouf), Cécile Chevet, qui est bien trop mignonne et en plus j'ai droit à un petit dessin ! Et aussi Elvira Time, saison 1 de Mathieu Guibé et Elodie Marze, lui aussi également dédicacé !
Et c'est tooout. Oui vous avez bien lu, je n'ai acheté que quatre romans sur le salon ! Un truc de foooou.
J'en connais une qui a été moins raisonnable que moi, mais comme je suis une personne sympa, je dirais pas qui.
Après avoir passé un certain temps à se faire dédicacer tous les livres que Cha a acheté chez le Chat Noir, on avise qu'Ariel Holzl est tout seul et je saisis donc l'occasion pour lui redemander une photo, soutenue par Cha. Hop, une victoire
On décide ensuite de faire un tour du côté du marché fantasy, où je craque pour un marque page Winnie l'Ourson (oui j'aime trop ce petit ours exhibitionniste (je vous ferais remarquer qu'il est quand même à moitié à poil, la partie couverte étant même pas la plus nécessaire) et on bave devant un paquet de trucs, allant de costumes à des art-books/artworks bien trop jolis.
Et également, oui, vous ne rêvez pas, des mandragores. |
Sauf que c'est là que ça se complique. On avise un monsieur de la maréchaussée qui est là pour la sécurité (sans blague ?! Merci Plouf !) et on lui demande où est le distributeur le plus proche.
"Pas très loin, nous dit-il, en voiture ça se fait vite". Ouais, sauf que nous, on en a pas, de voiture. Et quand on lui fait remarquer, il fait la grimace. "Ah bah désolé, ça doit être au moins à trente minutes à pied."
Ah.
Ah.
Et nous comment on fait pour manger ? Bah oui parce que figurez vous que le point restauration du salon ne prend pas la carte non plus. Bon, c'pas grave, il y a un foodtruck pizzeria juste devant qui la prend, la carte, nous voilà sauvéééées !
On prend donc nos pizzas parce qu'il fait faim, on met une demie heure pour choisir la meilleure place pour s'asseoir (on déconne pas avec notre spot de bouffe manifestement, ce qui prouve encore une fois que nos priorités sont largement à revoir).
Et c'est là, avec de la pizza quatre fromages plein la bouche que je tilte un truc. Que je partage aussitôt avec la copinote :
"Eeeuh. Chaa. Comment on fait pour prendre le bus pour rentrer maintenant qu'on a plus de liquide ?"
Et oui mesdames messieurs. Nous v'là coincées à Hallennes-lez-Haubourdin, à 8,42km de Lille (et encore ça c'est si on prend la D941), c'est à dire à UNE PUTAIN D'HEURE QUARANTE CINQ DE CHEZ NOUS A PIED.
Et c'est là qu'un léger moment de solitude nous prend. Qui durera une bonne partie de l'après midi.
A partir de là plusieurs situations s'offrent à nous :
1) Demander telles des pauvresses sur le parking s'il y a pas des gens qui rentrent sur Lille et qui peuvent nous poser (et oui, nous, constipées de la socialisation, on finit par s'y résoudre, mais on s'arrête assez rapidement parce qu'on a peur de faire flipper les gens, et en plus manifestement personne ne va à Lille).
2) Y aller à pied. C'est à dire : marcher. Hahaha.
3) Appeler la RATP Lilloise pour leur demander s'il y a pas un bureau de tabac dans Hallennes-lez-Haubourdin qui vendrait des tickets de bus (vous noterez qu'on est pas douées mais tout de même pleines de ressources). Ouais bah non, parce qu'en fait, à Hallennes-lez-Haubourdin (et si vous croyez que je me fais chier à écrire le nom à chaque fois, vous mésestimez ma flemme et ma passion pour CTRL + V), il y a pas de bureau de tabac.
4) Se rendre dans le seul commerce d'Hallennes-lez-Haubourdin (je ne m'en lasse pas) ouvert et demander si on peut pas échanger un paiement par carte par des sous (nope pas possible).
5) Appeler un Uber et se résoudre à payer 30 balles la course de 16 minutes. Haa Liiille, tu es si près et pourtant si loin.
On finit donc par opter pour ce dernier choix, et on attend, devant l'église d'Hallennes-lez-Haubourdin, à côté d'une camionnette manifestement remplies de perruches (me demandez pas, je ne sais pas, et je veux pas savoir) que le gentil Hubert d'Uber arrive.
Sauf qu'en fait Hubert, il arrive jamais. Au bout de presque 45 minutes à voir sa voiture ne pas du tout venir dans notre direction (oui, sur l'appli on peut voir où est notre chauffeur (Big Brother is watching you toussa)), Hubert finit par nous appeler en nous expliquant qu'il y a une merde avec l'appli et qu'on est pas du tout sur sa route et qu'il faut qu'on annule la course en fait.
Voilàvoilà.
Dépitées, légèrement fanées de la vie et des perruches (non je n'ai toujours pas d'explication) on finit par retourner au salon. Et à demander conseil à un autre agent de la maréchaussée (les Halliennales, le salon numéro 1 pour rencontrer des auteurs et des policiers), qui nous dit en se marrant de tenter de dire au chauffeur du bus qu'on a plus une thune et de louer sa bonté, et que ça se trouve, il nous laissera monter quand même. "T'façon, vous avez rien à perdre haha !" Haha.
Putain que la vie est dure quand on est pas douées.
Du coup on se rend à l'arrêt de bus (évidemment le bus est passé il y a 5 minutes, on est obligées d'attendre presque une demie heure le suivant (et je pense que ce récit illustre parfaitement la loi de Murphy)). Heureusement, dans notre malheur, on rencontre un gentil petit couple qui sort du salon et avec qui on discute bouquins en attendant. Le bus arrive, on plaide notre cas en faisant des yeux de Chat Potté et là, le chauffeur nous laisse monter (il en avait pas franchement grand chose à carrer qu'on ait pas de ticket en fait).
MAIS RIEN A FOUTRE C'EST UNE VICTOIRE.
Enfin, on reste pas-sereines jusqu'à notre sortie de bus, parce que bon, si on se fait contrôler on est bonnes pour l'amende (et au vu notre bol depuis le début de la journée, on a pas tellement envie de se réjouir trop vite).
Mais on arrive sans encombre à Lille. On prend le métro, soulagées et légèrement lessivées.
On se pose, on se remet de nos émotions, on prend des photos de nos achats, bien au chaud dans notre appartement sans draps et sans pécu, et on se jure sur tout ce qui nous est de plus cher (des livres et des photos de Tom Hiddleston) que plus jaaamaaais on se baladera sans liquide sur nous.
Ensuite on ressort pour acheter de quoi manger et DU PAPIER TOILETTE, ouais ma gueule, on rentre à la maison and the rest is history (en gros : on va se coucher (mal parce que les gens ivres de la veille sont revenus (mais il finit par leur pleuvoir sur la gueule, ce qui calme leur velléité de gueuler) en priant pour qu'aucune autre merde nous tombe sur la gueule).
SINON ÇA VA CHIER. |
Et quant au dimanche. Comment vous dire. Il nous restait une mission. Acheter des cartes postales.
Sauf que voyez-vous, à Lille, le dimanche il y a pas trop grand chose d'ouvert en boutique de souvenirs, à part sur la Grand'Place, mais bon, ils abusent un peu sur les prix des cartes (et des aimants (Cha aime l'aimant)). Du coup je me dis que dans le Vieux Lille, il y aura peut être des boutiques de souvenirs d'ouvertes.
Non.
Et vous savez pas le pire ? Quand on finit notre tour, qu'on se rend à la boutique sur la Grand'Place, parce qu'on a pas le choix, et que je sors toute fière mon billet de 10€ (ETOUAISTAVUJ'AIDULIQUIDE), la nana me sort "ah désolée, j'ai pas assez de monnaie je peux pas vous prendre votre billet de 10€, soit vous achetez autre chose, soit vous laissez vos cartes."
MAIS C'EST QUOI TON PROBLÈME AVEC LA MONNAIE, VILLE ?!
Heureusement Cha est venue à mon secours, grâce à ses aimants qui coutaient une blinde, on est rentrées dans l'appart, on a mis 15 ans à descendre nos valises (une qui portait sa valise, l'autre qui assurait la sécurité en cas de chute devant, pause à chaque pallier, on remonte chercher l'autre valise, on inverse les rôles, tout ça sur trois étages (on pourrait croire qu'on s'est marrées mais non hein)), on a perdu les clés de Cha, on a failli pas réussir à rentrer dans la gare (quand ça veut pas...) mais finalement, Cha réussit à prendre son train, et je m'écroule sur un banc en attendant le mien, qui n'arrivera que deux heures et demies plus tard.
Ce n'est qu'à minuit et demie que je regagne mes pénates lyonnaises, complétement claquée (et pour bien finir, je rappelle que j'habite au quatrième sans ascenseur).
En conclusion : Lille c'est chouette, les gens sont gentils (sauf quand ils oublient de te fournir les draps ou quand ils hurlent sous tes fenêtres). Les Halliennales c'est top (sauf quand on oublie de te signaler le problème d'absence de distributeurs). Les livres c'est merveilleux (sauf quand ils pèsent une blinde dans ta valise et que tu n'as pas une once de muscle). En gros, il y a toujours du positif et du négatif dans tout, parce que c'est ça, la vie. Mais vous savez quoi, j'ai juste envie de me souvenir de tous les trucs trop cools. Cha et moi au paradis des livres aux Furets du Nord, en train de chanter/danser sur Shape of You d'Ed Sheran le samedi soir (il y en a qui ont besoin de "liquid courage", moi j'ai besoin de "music courage"), les fous rire parce qu'on s'envoie des messages sur Instagram alors qu'on est assises à deux mètres l'une de l'autre, les piques qu'on se lance dans la tronche toute la journée (on est un peu comme Dame Séli et Léodagan ♥) parce qu'on donne plutôt dans l'amour vache, nos sourires niais quand on se fait dédicacer un livre qu'on a particulièrement aimé, le soulagement quand on arrive chez nous après deux heures de galères à la con, notre incapacité chronique à nous nous nourrir correctement qui fait que notre déjeuner du dimanche midi était des fraises tagada...
En fait, les livres c'est formidable, les salons ça pète, surtout quand on a une copinote au top.
♥ |
BISOUS. |
J'ai adoré lire vos (més)aventures Lilloises. Aucun risque de s'ennuyer avec vous 😂
RépondreSupprimerEt si ça peut te consoler, j'ai la poisse quand il s'agit de prendre le train. Accident voyage, panne électrique, intempéries... A chaque fois que je monte dans un train, le-dit train à un problème. Et ça fait bien rire mon entourage. 😅
(Pour ce qui est de l'étiquette impossible à enlever, tu peux essayer de l'enlever à l'aide d'un sèche-cheveux ! La chaleur fera fondre la colle. ^^)
Hahaha, nos bêtises nous occupent bien disons x)
SupprimerHaa ma pauvre, ça doit être légèrement frustrant ^^'
HAAAA MERCI pour ce tip ! Bon le truc c'est que j'ai pas de sèche cheveux x) Mais dès que j'en achète un, je teste ! =3
J'ai beaucoup trop rit en te lisant, j'en ai fait des bulles dans ma tisane :D
RépondreSupprimerSinon : j'ai La fille qui tressait les nuages dans ma PAL numérique. Ca te dit une petite lecture commune ?
Hahahahaha xD
SupprimerDu coup je t'ai déjà répondu, et je suis ravie de pouvoir faire cette lecture avec toi ♥
Et bien... Je vois que vous savez bien vous marrer ^^. En tout cas, je crois que vous êtes les filles les plus poissardes que j'ai vu depuis un moment 😂
RépondreSupprimerLe principal, c'est que vous ayez passé un super moment malgré les personnes alcoolisées, les perroquets et les problèmes de distributeurs ^^.
On sait rire de nous plutôt x)
SupprimerHuhuhu, c'est surtout qu'on est pas bien douées xD
Ouiii ♥
Pfiouu j'ai eu l'impression de lire un roman à sensations :') Vous avez du beaucoup rigoler en tout cas, vos péripéties m'ont bien fait rire. Je retiens que sis je vais à Lille, il me faut de la monnaie ! Bwah t'inquiète pas, quand tu viendras à Paris pour Montreuil, t'auras aucun soucis sur les sous, au contraireee !
RépondreSupprimerMouhahaha x)
SupprimerOn en a ri surtout après en fait x)
Ouii, oublie pas la monnaie surtout xD
Carrément, je serais tranquille de ce côté^^
C'est une belle aventure ^^ J'ai adoré lire ces deux parties sur cette folle épopée lilloise, c'était riche en rebondissements :D Le book haul a l'air super, Le roi des fauves d'Aurélie Wellenstein fut un coup de coeur pour moi. Bonnes lectures :)
RépondreSupprimerHahaha, ravie que ça t'ai plu ♥
SupprimerJ'ai hâte de découvrir ce roman ! =)
Mercii !
Ahahaa que d'aventure dis donc! Le liquide c'est tout un problème x))) Vous ne risquez pas d'oublier de sitôt en tout cas ;)
RépondreSupprimerN'est ce pas ?^^
SupprimerPutain, je sors plus sans maintenant, j'ai compris la leçon x)
J'ai adoré lire toutes vos aventures ! Comme dans un roman, j'ai peiné avec vous dans les escaliers, j'ai compati avec vos problèmes de transports (j'ai déjà connu ça après un concert où je n'avais pas du tout prévu comment rentrer (salle à l'écart de la ville, nuit noire, pas de bus, tout ça tout ça), heureusement y a des gens gentils et les files d'attentes, c'est bien utile pour sympathiser avec des gens qui veulent bien faire taxi après ^^), et surtout je me suis bien amusée ! Ça avait l'air épique mais tous ces livres partagés avec une si belle amitié, ça embellit tous les problèmes !
RépondreSupprimerHaaan ravie que ça t'ai plu ♥
SupprimerOlala tu t'en es mieux sortie que nous finalement x)
Ouii, heureusement qu'on était toutes les deux, deux moitié de cerveau donnant un cerveau entier (ou presque^^)
Mais quelles aventures ! Vous vivez toujours des trucs particuliers vous 2 😂
RépondreSupprimerTu m'as encore une fois fait bien rire avec toute cette histoire :p
Et tu as été raisonnable, bravo !
Mais ouiii, l'univers doit se dire que quand on est toutes les deux il faut qu'il se passe des trucs à la con pour qu'on puisse les raconter, je sais pas x)
SupprimerContente d'avoir pu te faire rire alors =D
Hii n'est ce paaas ?! (j'en profite de me la péter, parce que je crois que ça va être n'importe quoi à Montreuil ^^)
J'ai bien ri de toutes vos péripéties ! ça avait l'air bien sympa quand même !
RépondreSupprimerOui c'était quand même rigolo ^^ Même si sur le coup un peu moins quand même ^^
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